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50 ans après la dernière mission Apollo, les États-Unis retournent vers la Lune

À Cap Canaveral, en Floride, la Nasa a lancé le compte à rebours. La première méga-fusée du programme Artemis doit décoller lundi matin aux alentours de 8h33, heure locale. Ce premier vol test ne sera pas habité, mais l’objectif, pour les Américains, est de renvoyer des astronautes sur la Lune en 2025 et cette fois d’y rester.

Avec notre envoyé spécial à Cap Canaveral, David Thomson

À J-1, elle trône fièrement sur le pas de tir 39B du Kennedy Space Center, prête à décoller pour la Lune. C’est la fusée la plus puissante jamais construite par la Nasa. Au sommet de ses 98 mètres, la capsule Orion, en partie réalisée par l’Agence spatiale européenne. L’ingénieur français Philippe Berthe y a consacré les onze dernières années de sa vie. « Orion, c’est un véhicule qui est construit pour aller en orbite autour de la Lune et transporter des astronautes, quatre astronautes qui pourront aller dans une station spatiale qu’on va construire autour de la Lune qui s’appelle la Gateway », détaille-t-il.

Car 50 ans après les mythiques missions Apollo, l’ambition n’est plus seulement de marcher sur la Lune, mais bien d’y rester. « Il faut imaginer la Lune comme un autre continent de la Terre, estime-t-il. L’idée, c’est d’étendre le domaine des activités humaines, qui jusqu’à présent est restreint à la surface de la Terre bien sûr mais aussi à l’orbite basse, à la Lune, d’avoir des gens qui vivront soit en orbite autour de la Lune, soit à la surface. »

Remarcher sur la Lune

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