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Entraîneur légendaire de Saint-Etienne, Robert Herbin est mort

L’emblématique joueur et entraîneur de Saint-Etienne s’est éteint ce lundi à l’âge de 81 ans.L’emblématique joueur et entraîneur de Saint-Etienne s’est éteint ce lundi à l’âge de 81 ans.

Hospitalisé Hospitalisé depuis mardi dernier à Saint-Etiennedepuis mardi dernier à Saint-Etienne, Robert Herbin est mort ce lundi à l’âge de 81 ans, après des complications cardiaques et pulmonaires sans lien avec la pandémie de coronavirus. Son décès a été annoncé par le journaliste Jacques Vendroux, proche de la famille, et Jean-Michel Larqué, son ancien joueur. Entraîneur emblématique des Verts parvenus en finale de la coupe d’Europe des clubs champions en 1976, ce Parisien élevé à Nice avait déjà fait le bonheur de Saint-Etienne comme joueur., Robert Herbin est mort ce lundi à l’âge de 81 ans, après des complications cardiaques et pulmonaires sans lien avec la pandémie de coronavirus. Son décès a été annoncé par le journaliste Jacques Vendroux, proche de la famille, et Jean-Michel Larqué, son ancien joueur. Entraîneur emblématique des Verts parvenus en finale de la coupe d’Europe des clubs champions en 1976, ce Parisien élevé à Nice avait déjà fait le bonheur de Saint-Etienne comme joueur.

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Entraîneur légendaire de Saint-Etienne, Robert Herbin est mortEntraîneur légendaire de Saint-Etienne, Robert Herbin est mort

L’emblématique joueur et entraîneur de Saint-Etienne s’est éteint ce lundi à l’âge de 81 ans.L’emblématique joueur et entraîneur de Saint-Etienne s’est éteint ce lundi à l’âge de 81 ans.

A. Cl.A. Cl.mis à jour le 28 avril 2020 à 08h11mis à jour le 28 avril 2020 à 08h11partagerpartager  

Hospitalisé Hospitalisé depuis mardi dernier à Saint-Etiennedepuis mardi dernier à Saint-Etienne, Robert Herbin est mort ce lundi à l’âge de 81 ans, après des complications cardiaques et pulmonaires sans lien avec la pandémie de coronavirus. Son décès a été annoncé par le journaliste Jacques Vendroux, proche de la famille, et Jean-Michel Larqué, son ancien joueur. Entraîneur emblématique des Verts parvenus en finale de la coupe d’Europe des clubs champions en 1976, ce Parisien élevé à Nice avait déjà fait le bonheur de Saint-Etienne comme joueur., Robert Herbin est mort ce lundi à l’âge de 81 ans, après des complications cardiaques et pulmonaires sans lien avec la pandémie de coronavirus. Son décès a été annoncé par le journaliste Jacques Vendroux, proche de la famille, et Jean-Michel Larqué, son ancien joueur. Entraîneur emblématique des Verts parvenus en finale de la coupe d’Europe des clubs champions en 1976, ce Parisien élevé à Nice avait déjà fait le bonheur de Saint-Etienne comme joueur.publicitépublicité

Entraîneur légendaire de Saint-Etienne, Robert Herbin est mort

Jacques VendrouxJacques Vendroux@JacquesVendroux@JacquesVendroux

Robert Herbin est parti ce soir à l’hôpital nord de Saint Etienne .Son frere et ses Soeurs ont souhaité que je vous l’annonce officiellement Robert Herbin est parti ce soir à l’hôpital nord de Saint Etienne .Son frere et ses Soeurs ont souhaité que je vous l’annonce officiellement
Nous pensons a sa famille, ses amis et ses proches, au peuple vert. Le monde du football est en deuil .Nous pensons a sa famille, ses amis et ses proches, au peuple vert. Le monde du football est en deuil .@@ASSEofficielASSEofficiel4 9574 957 ·  · Paris, FranceParis, FranceInformations sur les Publicités Twitter et confidentialitéInformations sur les Publicités Twitter et confidentialité2 003 personnes parlent à ce sujet2 003 personnes parlent à ce sujet

Pas encore surnommé « le Sphinx » en raison de son flegme légendaire, il était alors « le Rouquin » et a disputé 509 matches avec l’ASSE, toujours comme titulaire. Très complet et réputé pour son aisance dans les airs, il a commencé défenseur avant de monter au milieu du terrain, et a parfois joué attaquant avec l’équipe de France dont il a porté le maillot 23 fois. La Coupe du monde 1966 avait marqué une rupture car il s’était blessé gravement en Angleterre, et il a achevé sa carrière à seulement 33 ans, pour se lancer aussitôt dans une vie d’entraîneur qui allait l’amener encore plus haut.Pas encore surnommé « le Sphinx » en raison de son flegme légendaire, il était alors « le Rouquin » et a disputé 509 matches avec l’ASSE, toujours comme titulaire. Très complet et réputé pour son aisance dans les airs, il a commencé défenseur avant de monter au milieu du terrain, et a parfois joué attaquant avec l’équipe de France dont il a porté le maillot 23 fois. La Coupe du monde 1966 avait marqué une rupture car il s’était blessé gravement en Angleterre, et il a achevé sa carrière à seulement 33 ans, pour se lancer aussitôt dans une vie d’entraîneur qui allait l’amener encore plus haut.

Sur le banc lors de la finale de C1 en 1976Sur le banc lors de la finale de C1 en 1976

Il prend la succession d’Albert Batteux sur le banc des Verts en 1972, alors que les clubs français ne parviennent pas à briller en Europe. Très exigeant sur le plan physique, aussi rigoureux tactiquement, Herbin révolutionne l’approche de l’entraînement et ses méthodes novatrices vont porter l’ASSE jusqu’à la fameuse finale de Glasgow, perdue face au Bayern Munich en 1976 (0-1).Il prend la succession d’Albert Batteux sur le banc des Verts en 1972, alors que les clubs français ne parviennent pas à briller en Europe. Très exigeant sur le plan physique, aussi rigoureux tactiquement, Herbin révolutionne l’approche de l’entraînement et ses méthodes novatrices vont porter l’ASSE jusqu’à la fameuse finale de Glasgow, perdue face au Bayern Munich en 1976 (0-1).

7Après ce sommet, il sera encore champion de France en 1981 avant d’être limogé en janvier 1983, huit mois après la démission du président Roger Rocher. Il part alors chez le rival lyonnais mais ne trouvera nulle part ailleurs la place qu’il a tenue à Saint-Etienne, où il a remporté six titres de champion comme joueur et quatre comme entraîneur. Il y reviendra de 1987 à 1990, sans connaître autant de succès, et avait continué d’y vivre en suivant les matches de son club de toujours, qu’il chroniquait pour le quotidien régional Après ce sommet, il sera encore champion de France en 1981 avant d’être limogé en janvier 1983, huit mois après la démission du président Roger Rocher. Il part alors chez le rival lyonnais mais ne trouvera nulle part ailleurs la place qu’il a tenue à Saint-Etienne, où il a remporté six titres de champion comme joueur et quatre comme entraîneur. Il y reviendra de 1987 à 1990, sans connaître autant de succès, et avait continué d’y vivre en suivant les matches de son club de toujours, qu’il chroniquait pour le quotidien régional Le ProgrèsLe Progrès..

publié le 27 avril 2020 à 23h35 |l’équipe

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