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La masturbation réciproque possède de nombreux avantages

La masturbation réciproque possède de nombreux avantages.

Se masturber seul·e, c’est chouette. Mais parfois, à deux, c’est encore mieux. La masturbation réciproque possède de nombreux avantages : casser la routine, apprendre à connaître le corps de l’autre, décupler le plaisir. Voici toutes les bonnes raisons de tester la masturbation à deux.

Souvent pratiqué en solo, l’onanisme peut aussi s’expérimenter… à deux. La masturbation réciproque, aussi nommée masturbation mutuelle, consiste, comme son nom l’indique, à se caresser en couple, soit l’un·e devant l’autre, soit l’un·e sur l’autre. Une pratique qui permet, entre autres, de renforcer la confiance dans la relation, de mieux connaître le plaisir de l’autre, et de découvrir de nouveaux horizons. Mais pas toujours facile de se lancer, même avec la personne dont on est le ou la plus proche. « Il y a une certaine gêne parce que la sexualité dans sa globalité a été très tabouisée, très cachée, notamment pour les femmes. Et puis, il y a la question du rapport au corps, car l’autre nous voit, et nous regarde », confie Alexia Bacouël, sexothérapeute et thérapeute de couple. On vous donne 5 bonnes raisons qui achèveront de vous convaincre.

Mieux se connaître l’un·e l’autre

Se masturber permet d’abord de se connaître. Et mieux connaître son corps, c’est souvent mieux jouir. Si la masturbation en solo permet de jouer, d’explorer, d’identifier ce qu’on aime et ce qu’on aime moins, la masturbation mutuelle a, elle aussi, des vertus éducatives. « C’est un très bon moyen de voir comment l’autre jouit, comment il/elle se donne du plaisir », confirme Alexia Bacouël. Que l’on se masturbe l’un·e l’autre ou sous les yeux de son/sa partenaire, c’est une excellente façon lui montrer la façon dont on aime être touché·e, caressé·e, stimulé·e.

Pour la sexothérapeute, partager se plaisir solitaire à deux encourage aussi les femmes à redevenir actrices de leur sexualité, à « sortir de cette passitivé dans laquelle elles ont été éduquées au départ ». Et d’ajouter : « C’est se réapproprier cette possibilité de jouir seule, à deux, d’être proactive dans le rapport ».

Apprendre à communiquer

Comment inviter cette nouvelle pratique ? « En parler est indispensable », affirme Alexia Bacouël. « On ne le fait jamais trop »« C’est toujours important d’en parler en amont, qu’on soit en couple établi ou non-exclusif. Plus on est capables d’échanger et plus on est à-même de ne plus subir sa sexualité, de devenir actrice ou acteur de celle-ci », précise-t-elle. Cette pratique peut être intimidante et demande une confiance en l’autre. « La communication est importante pour poser les mots, dire ce qu’on aime, ce qu’on n’aime pas, donner ses limites », poursuit l’experte. Avant, pendant, après les ébats, parlez de vos ressentis, de vos envies, de ce qui vous plaît. « Parfois, les limites que l’on s’était fixées peuvent être repoussées, et c’est quelque chose dont on peut échanger à chaque instant ». En parler vous aidera à être plus à l’aise les fois d’après, et à faire grimper l’excitation.

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