Take a fresh look at your lifestyle.

«Les États-Unis sont de retour!»: Biden arrive en Europe

Royaume-Uni : Début de la tournée de Joe Biden en Europe.

Le point fort de la visite de Joe Biden sera sa rencontre avec Vladimir Poutine le 16 juin à Genève

« Les Etats-Unis sont de retour ! ». Les mots de Joe Biden peu après son arrivée au Royaume-Uni mercredi soir sont clairs : son pays compte de nouveau très fortement peser sur la scène mondiale. Le président américain entame pour cela une tournée en Europe où il doit rencontrer Vladimir Poutine et annoncer, dans un geste fort au sommet du G7, l’achat d’un demi-milliard de doses de vaccin Pfizer/BioNTech contre le coronavirus pour les pays pauvres.

Joe Biden, accompagné de la Première dame, Jill Biden, a atterri en Angleterre à bord d’Air Force One pour son premier déplacement à l’étranger en tant que président. Ce jeudi, le locataire de la Maison-Blanche doit rencontrer en tête-à-tête le Premier ministre britannique Boris Johnson. Les deux dirigeants comptent s’accorder lors de leur première rencontre sur une nouvelle « Charte de l’Atlantique », sur le modèle de celle signée par leurs prédécesseurs Roosevelt et Churchill, prenant en compte la menace des cyberattaques et le réchauffement climatique, a indiqué Downing Street. Dimanche, Joe Biden rendra visite, au château de Windsor, à la reine Elisabeth II, qui règne depuis 69 ans, puis participera au sommet de l’Otan avant un autre sommet avec l’Union européenne.

Biden veut être ferme avec Poutine

Mais la rencontre avec Vladimir Poutine, prévue le 16 juin à Genève, apparaît comme le point culminant de ce premier déplacement, qui intervient au moment où Joe Biden est en difficulté dans son pays, sur fond de tensions au sein de son propre camp. Mercredi soir, le président américain a marqué son intention de dire à son homologue russe « ce que je veux qu’il sache ». Et répété son avertissement que les Etats-Unis « répondront de manière ferme et significative » si Moscou s’engage dans des activités « nuisibles ». Il ne cherche « pas le conflit avec la Russie », mais « une relation stable et prévisible », a-t-il poursuivi.

Ukraine, Biélorussie, sort de l’opposant russe emprisonné Alexeï Navalny, cyberattaques : les discussions s’annoncent âpres et difficiles, notamment sur ce dernier point. La présidence américaine a donné peu de détails sur le déroulement de ce tête-à-tête. Elle a seulement laissé entendre que, contrairement à ce qui s’était passé avec Donald Trump à Helsinki en 2018, une conférence de presse commune des deux hommes n’était pas à l’ordre du jour.

SOURCE 20 MINUTES

Les commentaires sont fermés.

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More