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Quelle place pour le vélo électrique en France ?

Quelle place pour le vélo électrique en France ?

« Le vélo à assistance électrique est une véritable révolution. Même si on n’aura pas 100 % de VAE dans les rues. Ce ne serait ni possible, ni souhaitable. Pour ceux qui le peuvent, c’est bien de continuer à utiliser un vélo classique », lance Olivier Schneider. « Le VAE est une bonne réponse pour ceux qui pensent que le vélo n’est pas pour eux. Il met en confiance et permet d’être rassuré. Il aide à braver la pluie et le vent et à s’affranchir du relief. C’est un outil crédible », met-il en avant. « En outre, au-delà de 30 minutes, l’acceptabilité pour effectuer des déplacements avec un vélo sans assistance est moindre. Avec un VAE, les trajets peuvent être plus longs, dépassant les 10 kilomètres », explique-t-il.

Et si les habitants de Toulouse et de l’agglomération se mettaient au vélo à assistance électrique en attendant l’arrivée de la troisième ligne de métro en 2028 ? C’est l’idée originale proposée par Faiseurs de ville, un tout jeune collectif de la Ville rose, né pendant le premier confinement.

100 000 vélos à assistance électrique

« La pollution augmente, la Zone à faible émission tarde à se mettre en place, les émissions de gaz à effet de serre ne diminuent pas, estime ainsi Raphaël André, l’un des membres du collectif… Mais on sent que les gens sont prêts à bouger et à changer leurs habitudes de mobilité. Dans certaines villes, la pratique du vélo explose. À Toulouse il faut sans doute donner un petit coup de pouce pour inciter les gens à laisser tomber leur voiture. »

Les faiseurs de Ville mettent donc une idée sur la table : mettre en place un service public de location longue durée de 100 000 vélos à assistance électrique.

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