David Spiegelhalter, chercheur britannique, affirme dans une étude, que l’espèce humaine ne fera plus l’amour en 2030 !
Le chercheur britannique David Spiegelhalter l’affirme dans une étude publiée en 2019 : selon lui, nous ne ferons plus l’amour en 2030
Une étude réalisée par le statisticien et professeur d’Université, David Spiegelhalter, montre que les humains pourraient ne plus faire l’amour d’ici 2030 ou presque.
Yahoo News, qui a relayé l’information, rapporte que David Spiegelhalter a « observé la périodicité des rapports sexuels de couples âgés entre 18 et 64 ans ». Son constat : au fil des années, le nombre des rapports sexuels entre les partenaires a nettement chuté.
À force d’être rivés sur nos smartphones ou sur tout autre écran, nous risquons de ne plus avoir de libido d’ici quelques années. C’est la prédiction du statisticien David Spiegelhalter qui a mené une étude publiée par l’Université de Cambridge. Pour en venir à cette conclusion, le chercheur a interrogé de nombreux couples âgés de 16 à 64 ans, sur le nombre de rapports sexuels qu’ils avaient par mois. Et plus les années passent plus les rapports sexuels ressemblent au désert de Gobi.
En 1990, la moyenne par mois était de 5 parties d’aller/retour au nirvana, contre 4 en 2000 et seulement 3 en 2010. D’ici 2030, le chiffre pourrait donc arriver à 0.
En 1990, la moyenne par mois était de 5 parties d’aller/retour au nirvana, contre 4 en 2000 et seulement 3 en 2010. D’ici 2030, le chiffre pourrait donc arriver à 0.
La faute à l’hyper-connectivité de la société qui invitent les écrans, séries et réseaux sociaux à remplacer notre intimité. Pour les scientifiques, nous sommes constamment sollicités par ce qui se passe sur nos écrans, ce qui laisse peu de temps aux plaisirs de la chair. Entre les moments passés sur Instagram, Youtube, Snapchat, Tik Tok, il faut aussi compter sur les plateformes de streaming comme Netflix qui nous monopolisent énormément de temps de vie, l’ère est ainsi au « binge-watching » (regarder une série télévisée d’une seule traite.)
« Cette connexion massive, conjuguée à la consultation constante de nos téléphones (…) Il y a quelques années, la télévision était éteinte à 22h30, et il n’y avait rien d’autre à faire. […] Aujourd’hui, les gens ont de moins en moins le temps de faire l’amour« , regrette PR. Spieghalter.
Les conséquences sont inquiétantes car cette tendance aurait pour effet une infertilité de l’humanité.
Sources
www.cam.ac.uk
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