X commence à facturer 1 $ par an aux nouveaux utilisateurs en Nouvelle-Zélande et aux Philippines

X d’Elon Musk, anciennement connu sous le nom de Twitter, a commencé à facturer aux nouveaux utilisateurs en Nouvelle-Zélande et aux Philippines 1 $ (0,82 £) par an pour accéder aux fonctionnalités clés, dans le cadre d’un nouvel essai.

Ils incluent la possibilité de tweeter, de retweeter, d’aimer les publications et de répondre aux publications.

Ceux qui se désengagent des frais d’abonnement ne pourront que lire les publications, regarder des vidéos et suivre des comptes.

La plateforme de médias sociaux a déclaré que l’objectif était de « réduire le spam, la manipulation de notre plateforme et l’activité des robots ».

Les nouveaux comptes devront également vérifier leur numéro de téléphone, même si M. Musk a déclaré qu’il serait toujours libre de créer des comptes « en lecture seule », qui ne disposent pas de fonctionnalités clés. .

Le mois dernier, le patron de X, Tesla et SpaceX a suggéré que tous les utilisateurs de X pourraient devoir payer pour y accéder .

Depuis que M. Musk a acheté Twitter pour 44 milliards de dollars l’année dernière, ses revenus ont connu une baisse continue.

Bien qu’il existe un intérêt financier évident pour l’entreprise à facturer les utilisateurs, le milliardaire controversé a déclaré que faire payer les gens pour le service visait à lutter contre les robots.

Il a déjà déclaré qu’un robot coûte « une fraction d’un centime » à fabriquer. “Mais même si quelqu’un doit payer quelques dollars ou quelque chose du genre, un montant mineur, le coût effectif pour les robots est très élevé”.

Les abonnés payants d’un service amélioré, appelé X Premium, paient désormais pour plus de fonctionnalités comme des publications plus longues et une visibilité accrue sur la plateforme.

X Premium coûte actuellement 8 $ par mois aux États-Unis. Le prix diffère selon le pays dans lequel réside l’abonné, tandis que les autres utilisateurs peuvent toujours utiliser X gratuitement.

L’un des risques liés au placement de X derrière un paywall est que la plateforme risque de perdre une grande partie de ses utilisateurs. Cela pourrait à son tour faire baisser les revenus publicitaires, qui représentent actuellement la grande majorité des revenus de l’entreprise.

Ces dernières semaines, l’entreprise a fait l’objet d’une enquête de la part de l’Union européenne pour diffusion possible de contenus terroristes et violents et de discours de haine, après l’attaque du Hamas contre Israël.

Il a également été condamné à une amende par l’organisme australien de surveillance de la sécurité sur Internet pour ne pas avoir coopéré à une enquête sur les pratiques de lutte contre la maltraitance des enfants.

SAFETY PROMO AVEC BBC