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Gims fait polémique en affirmant que les Égyptiens avaient l’électricité dès l’Antiquité grâce aux pyramides

Virale sur les réseaux sociaux, l’interview du chanteur, durant laquelle il évoque la géopolitique et l’histoire de l’Afrique, a suscité de vives réactions.

Des propos surprenants. L’artiste Gims est de nouveau plongé au cœur d’une vive polémique après avoir affirmé que dans l‘Antiquité, les Égyptiens ont développé un système d’alimentation électrique grâce aux pyramides ou que les Africains ont été présents en Europe avant les Européens. Des extraits de son entretien sur l’émission Oui Hustle diffusée sur YouTube le 22 mars dernier ont suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. Si certains s’amusent des propositions farfelues de l’artiste, suivi par 3 millions d’internautes sur Twitter, d’autres dénoncent une forme de complotisme ou de réécriture de l’Histoire.

Interrogé à propos de ses engagements sur le continent africain, Gims assure être un fan d’histoire et que les Égyptiens possédaient déjà l’électricité dans l’Antiquité. « À l’époque de l’empire de Koush, il y avait l’électricité. Les pyramides, au sommet, il y a de l’or. L’or, c’est le meilleur conducteur pour l’électricité, c’étaient des foutues antennes. Les gens avaient l’électricité », a déclaré Gims. De plus, l’artiste a sous-entendu une forme de complot autour de sujet, puisque selon lui, « les historiens le savent ».  

Selon lui, 50.000 ans avant les Européens, « les Afropéens » auraient peuplé l’Europe, « ils ont été décimés par les vrais européens entre guillemets qui venaient d’Asie », a-t-il poursuivi. En partant de cette idée, l’ancien chef de file de Sexion d’Assaut raconte que la notion de chevalerie existait déjà en Afrique, puisque certains tableaux, représentants des chevaliers noirs, seraient « cachés dans les catacombes ». Par ses propos, l’artiste veut inciter les auditeurs à connaître l’histoire du continent sans la réduire à la notion d’esclavage. Mais ces affirmations ont été, à l’inverse, été décriées par certains historiens

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