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Il y a 110 ans, le naufrage du «Titanic» faisait 1.500 morts

Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le « Titanic » coulait au large de Terre-Neuve, après avoir heurté un iceberg. Le naufrage du paquebot lors de son voyage inaugural est resté dans toutes les mémoires : par l’ampleur de la catastrophe d’abord, avec environ 1 500 morts, par les nombreuses failles qu’il révéla – défauts dans les compartiments étanches, canots de sauvetage en nombre insuffisant, évacuation d’urgence mal organisée – et par les représentations qui en ont été faites depuis, la plus célèbre étant le film « Titanic » de James Cameron en 1997 (11 Oscars et un triomphe mondial).

La revue de presse ci-dessous, en partenariat avec RetroNews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France, montre que certains journaux rapportèrent à tort que tous les passagers étaient saufs – en réalité, plus de la moitié périrent. La presse raconta ensuite les circonstances du drame, et publia des témoignages de rescapés. Le naufrage entraîna plusieurs changements dans la sécurité maritime, de l’organisation des secours à la construction de la coque, comme le montrent les articles reproduits ici.

Il y a 110 ans, dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le Titanic faisait naufrage. A cette occasion, Paul-Henri Nargeolet, le plongeur ayant supervisé le plus d’expéditions sur l’épave, publie un livre.

Son nom ne vous dit peut-être rien, et pourtant: Paul-Henri Nargeolet est l’un des hommes à avoir découvert le Titanic.

À l’occasion du 110e anniversaire de la catastrophe maritime, survenue dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, ce plongeur ayant supervisé le plus d’expéditions sur l’épave publie un livre, Dans les profondeurs du Titanic (Harper Collins).

Sur BFMTV, il se souvient encore du jour où il a découvert l’épave. « Dans le sous-marin, on parle beaucoup. Là, pendant dix minutes, il n’y a rien eu. Pas un bruit dans le sous-marin. Puis la plongée a repris son cours. »

« Ça disparaît en une fraction de seconde »

En tout, Paul-Henri Nargeolet a remonté 5600 objets de l’épave (fer à friser, huiles essentielles, etc.). Son geste est longtemps resté incompris, comme s’il avait profané le lieu de l’épave.

Tous les objets n’ont pas pu être sauvés, précise-t-il: « Les métaux sont plus ou moins résistants à la corrosion. Et plus le métal est précieux, plus il résiste à la corrosion. » Certains objets ont ainsi disparu tels des « fantômes », ajoute-t-il:

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