90 000 dollars par an pour dix minutes de travail par jour, cet homme est le maître du télétravail

Aux Etats-Unis, un informaticien a mis en place un programme pour automatiser son travail. Depuis, il ne travaille que dix minutes par jour, en étant payé 90 000 dollars par an.

La pandémie de Covid-19 a été une bonne nouvelle pour certains. Enfin, ils allaient pouvoir télétravailler, leur rêve. Dès le premier confinement de mars 2020, les entreprises qui n’étaient pas trop tentées par le travail en distanciel n’ont pas eu vraiment le choix, et ont dû se résoudre à laisser leurs employés bosser de chez eux.

Certains ont apprécié, d’autres non. Il faut dire qu’entre une personne qui dispose d’un jardin et peut travailler sur un transat, et une autre habitant dans un appartement avec de jeunes enfants qui doivent, eux aussi, travailler à distance, il y a une grande différence.

Le maître du télétravail

Nombreux sont les nouveaux télétravailleurs à avoir plus bossé que d’ordinaire, pour montrer à leur patron qu’ils étaient bien présents, oubliant parfois les horaires de travail. D’autres ont, grâce au télétravail, pu minimiser leur production.

Leur travail était fait, mais peut-être en allant plus vite qu’au bureau, ce qui leur laissait un peu plus de temps libre à la maison. Parmi ces personnes, il existe un expert, un maître.

On ignore son nom, mais on connaît son histoire, puisqu’il l’a racontée sur Reddit, une plateforme communautaire américaine. Depuis, son post est devenu viral.

Un travail trop simple

Dedans, cet Américain raconte qu’il travaille en tant que spécialiste informatique pour un cabinet d’avocats. Chaque jour, le cabinet reçoit des milliers de documents numériques, comme des photos, des dossiers, etc. 

Tout arrive directement sur un disque local. Ils doivent ensuite être authentifiés, avant d’être transférés sur un Cloud qui gère tous les documents. C’est ce travail qu’effectue cet homme.

Très vite, il s’est rendu compte que huit heures de présence au bureau pour ce travail, c’était beaucoup trop, et il passait son temps à faire semblant de faire quelque chose… En clair, il s’ennuyait, et le travail pour lequel il avait été engagé, et pour lequel il était motivé s’est avéré moins passionnant que prévu.

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