La tour Eiffel est évacuée en raison d’une alerte à la bombe alors que la police armée délimite le monument parisien.
- La tour Eiffel évacuée vers midi par des policiers armés qui ont mis en place un cordon
- L’alerte aurait été déclenchée par un appel anonyme adressé aux agents
- On pense maintenant que les équipes d’explosifs balaient le monument parisien
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La tour Eiffel a été évacuée après une alerte à la bombe.
La police a bouclé le monument parisien vers midi mercredi après un appel téléphonique anonyme affirmant que des explosifs y avaient été laissés.
Des officiers armés ont pu être vus à un cordon installé sur des routes à proximité, tandis que les médias français ont rapporté que des équipes d’explosifs fouillaient le site.
Les routes menant au monument, dans le 7ème arrondissement de Paris, ont été fermées tandis que les gens se font dire d’éviter la zone.
- Une source à la tour a déclaré: « La tour Eiffel est actuellement fermée jusqu’à nouvel ordre, à cause d’un appelant non identifié disant qu’une bombe a été posée. Il y a eu une évacuation.
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«Des contrôles sont en cours et un périmètre de sécurité a été mis en place entre-temps. C’est une précaution de routine.
Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux montraient des voitures de police au pied de la tour, avec une affiche tweetant: « Le périmètre de la Tour Eiffel est bouclé, opération de police en cours ».
Il a déclaré qu’une source policière lui avait dit qu’un homme « avait menacé de se faire exploser », mais la police ne voulait pas vérifier ce récit.
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La soi-disant «Dame de fer» accueille plus de six millions de visiteurs par an et reçoit régulièrement des appels concernant la sécurité – dont beaucoup s’avèrent être des canulars.
En 2018, des défenses périmétriques, y compris des écrans en verre pare-balles, ont été placées autour du monument pour se protéger des menaces terroristes.
Les groupes terroristes qui l’ont menacée ces dernières années incluent Al-Qaïda et Isis.
Il a également été attaqué par des membres du mouvement antigouvernemental des gilets jaunes, qui, l’année dernière, ont allumé des incendies à la base de la tour et détruit les clôtures du périmètre.
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