Depuis le 2 février dernier, le casque de réalité mixte, également appelé “ordinateur spatial”, lancé par la société Cupertino, vise à populariser un marché encore émergent. Son objectif est de suivre le chemin tracé par l’iPhone à ses débuts, en passant d’une niche d’utilisateurs initiés à une adoption massive par le grand public.
Un dispositif révolutionnaire ou simplement un accessoire de luxe destiné à l’oubli ?
Depuis le vendredi 2 février, Apple commercialise son casque de réalité mixte, le Vision Pro, dans ses boutiques américaines sur rendez-vous uniquement. Annoncé en juin dernier, cet appareil représente une nouvelle incursion majeure pour le géant californien dans un domaine inexploré depuis une décennie, depuis le lancement de l’Apple Watch. Proposé à 3 499 dollars (3 231 euros), ce produit ne semble pas encore avoir trouvé son public parmi les concurrents.
Meta avec ses casques Quest, Sony avec le PSVR, et HTC avec les Vive ont été pionniers dans le domaine de la réalité virtuelle, puis de la réalité mixte, où le virtuel se superpose à l’environnement réel. Cependant, comme à son habitude, l’industrie attendait le casque estampillé de la pomme croquée pour stimuler et élargir ce marché encore principalement réservé aux “early adopters”.
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