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Le rappeur 50 Cent lance sa dernière tournée mondiale

Le célèbre rappeur américain lance une dernière tournée avant de se consacrer à d’autres activités. Il profite des 20 ans de son album phénomène, “Get Rich or Die Tryin”, pour un ultime tour XXL qui passera par la France. Il compte par la suite se concentrer sur ses activités de productions télévisuelles et sa branche de spiritueux.

C’est une légende du rap américain. 50 Cent a annoncé qu’il lancerait une dernière tournée mondiale avant de se consacrer à d’autres activités. “Je ne pourrai plus le faire comme ça”, a confié à l’AFP le rappeur, toujours aussi cash en interview. “Mes activités de producteur de films et séries ne me le permettent plus”, explique l’artiste qui fêtera jeudi ses 48 ans. Sa série Power, diffusée depuis 2014, a rencontré un grand succès. “Avec mes productions de films et séries, je parle directement à mon public cible, je ne veux pas le perdre”.

Curtis Jackson, de son vrai nom, profite des 20 ans de son album phénomène “Get Rich or Die Tryin'” pour proposer un ultime tour XXL qui passera par les États-Unis, l’Europe, le Royaume-Uni puis l’Océanie. “On a vendu 600.000 tickets, sans doute impressionnant pour d’autres, mais je suis 50 Cent”, s’amuse-t-il en visio-conférence.

“In Da Club” a atteint le milliard d’écoutes sur Spotify

Il passera par la France à l’automne. Des souvenirs particuliers dans ce pays ? “Cette fille. Incroyable. Les choses deviennent un peu floues avec le temps, mais je m’en souviens. Il n’y a rien comme la France”, souffle le colosse, qu’on verra à l’automne dans Expendables 4, aux côtés de Sylvester Stallone.

Ce qui pourrait le faire revenir sur sa décision ? Tourner avec “Eminem et Dr. Dre”, autres légendes du rap US et ses mentors sur “Get Rich or Die Tryin'”. “Mais je ne pense pas que ça pourra se faire”, regrette-t-il. “Em” et “Dre”, comme il les appelle, l’avaient notamment épaulé pour son tube “In Da Club”, qui vient de franchir la barre du milliard d’écoutes sur Spotify, reine des plateformes musicales. 

J’ai commencé à penser que je pouvais avoir tout ce que je voulais

50 Cent était assis dans un bus de tournée en 2003 quand on lui a dit que “Get Rich…” s’était écoulé à 800.000 exemplaires pour sa première semaine (plus de 13 millions au total). “J’ai commencé à penser que je pouvais avoir tout ce que je voulais”, se remémore-t-il. Cet album, “Deviens riche ou meurs en essayant”, est un classique du gangsta rap, veine irriguée par la violence des rues. Du vécu pour celui qui, gamin, fut enrôlé comme dealer après le décès de sa mère et frôla la mort, touché par neuf balles en 2000 dans un règlement de comptes. 

L’autre grande activité de 50 Cent, en dehors du rap et des productions télé, c’est sa branche de spiritueux. On l’a vu il y a quelques années dans les chais à Reims pour le champagne et à Cognac pour s’imprégner du savoir-faire français. La marque de cognac Rémy Martin l’a un temps poursuivi pour plagiat d’une forme de bouteille. “Ils ont senti que j’avançais trop vite, ils m’ont mis la pression, ils ont choisi le mauvais mec : j’ai dépensé 23 millions de dollars depuis ‘Get Rich…’ en frais juridiques en tout genre”. Litige désormais “réglé”, 50 Cent vante son cognac à sa façon : “Jésus en boirait”.

SOURCE TF1 INFO

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